Arc signature de Lyney. Son passif est adapté pour tous les MDPS qui utilisent leurs attaques chargées et qui se jouent en compos triple voire mono élément (Ganyu Gel par exemple). Les DGT CRIT sont aussi très appréciés, car cela te permet de te concentrer sur les autres statistiques. Le passif reste aussi très utile pour tes Sub-DPS comme Fischl, car le bonus d’attaque et les DGT CRIT restent excellents. Pour le bonus de VIT de déplacement, cela reste très peu pertinent hors monde ouvert.
Map interactive par Qiqi’s Notebook.
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Un accessoire de scène autrefois utilisé par une « grande magicienne », l’ultime secret de cette dernière étant qu’il s’agissait en fait d’une arme.
« C’est moi, la magicienne extraordinaire : Parsifal la grande !
Vous allez être les témoins d’un monde fantastique, jamais imaginé auparavant !
Ce chapeau, par exemple, mène au légendaire paradis oriental !
Ou peut-être allons-nous être témoins du péril dans un miroir, libérés de nos lois de l’espace et du temps ! »
Ce qu’on appelle la magie est assez similaire à la fraude.
La magie s’appuie sur le jeu et la création narrative, la fraude sur la technique.
« Dans la pièce de maître Coppelius, il y a un voleur insaisissable qui sait apparaître et disparaître à loisir, hein ?
Utilisons ça comme nom de scène ! Qu’en penses-tu ? »,
dit sans hésitation la jeune fille surexcitée assise à un étal à côté du Fleuve cendré.
« Parsifal ? Et moi alors ? Je suis la dame du saphir, la beauté que tu as volée ? »,
répondit la camarade de la jeune fille avant que les rires n’illuminent la ville souterraine qui n’avait jamais vu la lumière du soleil.
Et ainsi, les deux jeunes sœurs, qui gagnaient leur vie en trichant et en volant au glorieux opéra,
furent éblouies par les histoires comiques de chevaliers errants sur scène, à en oublier la raison pour laquelle elle s’était introduites dans le théâtre en premier lieu.
Et l’idée de s’appuyer sur leurs compétences et leurs techniques pour monter sur scène, sous les lumières scintillantes, commença à germer,
afin d’utiliser leurs performances brillantes pour illuminer autant les rêves de ceux qui sont forcés de rester debout que de ceux qui sont assis dans de luxueuses loges d’honneur.
L’une jouerait « Parsifal », et l’autre, son assistante Joséphine.
Leurs premières représentations eurent lieu dans les tavernes d’Eduardo, à côté des égouts, devant des étals de nourriture,
sous les yeux brillants des enfants au visage sale et parmi les applaudissements de la populace,
pour finalement finir sous les projecteurs lumineux d’un théâtre splendide, brillant, brûlant comme le soleil.
« Des plumes aux papillons », « Paradis », « Feu dans le miroir », « Le poisson d’or »…
Alors que la lumière de ces performances illuminait à la fois les luxueuses cabines d’honneur et le public debout,
le nom « Parsifal » devint le sujet brûlant dans les villes, celles d’en haut et celle d’en bas.
Ceux vêtus de violet disent que tous ont leur place, et ceux devant la scène ne sont pas différents :
que ce soit dans les cabines exquises surplombant la scène ou le long du sol bondé avec uniquement des places debout.
Pourtant, bien que la lumière de la représentation brille de manière égale sur tous ceux qui la voient,
en dehors du théâtre, la colère et l’indignation brièvement oubliées s’infiltreront, comme les racines d’un arbre pénétrant un mur de pierre.
Lors de la purge du Fleuve cendré, ce mur s’est finalement effondré.
La fille qui jouait toujours Joséphine se précipita au Fleuve cendré.
Outre l’odeur omniprésente du fer et de la pourriture,
il n’y avait que l’odeur de la colère, du chagrin et du sang qui n’avait pas encore séché.
Tout le monde connaissait Parsifal, mais une assistante n’est qu’une assistante.
Si c’était vraiment tout, ça aurait été simple et facile.
Mais tout comme l’assistante sur scène est coupée en deux par la lame sans jamais être blessée
ou la montre disparue revient toujours sans être vue,
la jeune fille perdit finalement sa « place » dans la vie.
Et ainsi, elle décida de concevoir un « grandiose tour de magie » qui leur appartenait.
« C’est moi, la magicienne extraordinaire : Parsifal la grande !
Vous allez être les témoins d’un monde fantastique, jamais imaginé auparavant !
Ici, ni aristocrate ni roi, et aucune lame ne sera pointée sur vous{NON_BREAK_SPACE}!
Nul ne naîtra dans la richesse, et nul dans la pauvreté inéluctable ! »
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